Illusion d’optique : 5% des internautes seulement ont réussi à repérer l’étrange perroquet en moins de 15 secondes

La rédaction
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Illusion d'optique : 5% des internautes seulement ont réussi à repérer l’étrange perroquet en moins de 15 secondes
©Illusion d'optique : 5% des internautes seulement ont réussi à repérer l’étrange perroquet en moins de 15 secondes

Vous avez de bonnes compétences si vous arrivez à repérer l’étrange perroquet dans l’image en l’espace de 15 secondes. L’équipe rédactionnelle de cafebabel.fr vous décrypte tout dans les prochaines lignes de ce nouvel article.

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Illusion d’optique : 5% des internautes seulement ont réussi à repérer l’étrange perroquet en moins de 15 secondes

Dans ce défi amusant, vous avez pour mission de trouver le perroquet caché dans le délai imparti. Ce challenge joue sur ces phénomènes visuels qui induisent notre cerveau en erreur, conduisant ainsi à une perception différente de la réalité.

Cette illusion d’optique est une façon de mettre à l’épreuve votre vision, votre perception ainsi que vos talents d’observation. Nous vous dévoilerons la solution de ce casse-tête visuel à la fin de cet article. Ne défilez surtout pas vers le bas avant d’avoir tenté de résoudre cette énigme par vous-même.

Ce puzzle teste également vos capacités de concentration ainsi que vos compétences cognitives. Ne faites surtout pas l’erreur de sous-estimer ce challenge car 95% des gens ont eu de mal à le relever en moins de 15 secondes. Si vous êtes prêt(e), lancez votre chronomètre et c’est parti !

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Un sens du détail et une bonne dose de concentration.

Avez-vous réussi le test dans le laps de temps défini ? Si oui, bravo à vous. Vous avez indéniablement un sens de l’observation hors pair et des yeux de lynx pour ne laisser passer aucun détail.

La différence peut être une variation de couleur, de taille, d’orientation ou juste une légère déviation dans l’apparence de l’animal.

Si le temps est écoulé et que vous n’y êtes toujours pas arrivé, prenez encore quelques instants pour tenter de le trouver.

Si, après plusieurs tentatives, l’intrus n’est toujours pas à portée de vue, nous vous invitons à découvrir la réponse dans l’image proposée un peu plus bas. Mais ne vous découragez surtout pas.

La plupart des gens ont échoué à ce test. Pour améliorer et développer vos compétences, entraînez-vous davantage avec de nouveaux tests visuels. Tant que vous stimulez vos capacités visuelles ainsi que votre cerveau, c’est bon.

Ce jeu d’observation ne se limite pas uniquement à vous amuser, il aide également votre cerveau à bien se porter. N’oublions pas la règle d’or : « la pire chose qui peut arriver à votre cerveau, c’est que vous ne l’utilisez pas« . Aussi, ne soyez surtout pas fainéant(e).

Et si on passe maintenant à la solution ?

Comme nous aimons à vous rappeler, le cerveau est doté d’une plasticité expliquant sa capacité à se développer constamment.

Vous en avez marre de chercher et vous voulez enfin connaître l’emplacement du perroquet ? Eh bien, il est peut-être temps de vous dire où il se trouve. Regardez l’illustration ci-dessous.

Si vous désirez continuer à vous amuser, visitez notre site web pour découvrir d’autres défis.

Qu’est-ce qui explique les illusions d’optique ?

L’illusion d’optique est produite par le cerveau qui remanie l’information selon certains paramètres. Les résultats d’une étude publiés dans Plos Computational Biology, révèlent que l’illusion tirerait son origine d’un niveau bien inférieur, soit au niveau des yeux.

Et si parfois, ce qui paraît une évidence pour certains ne l’est pas pour d’autres, c’est parce que « nous voyons tous les mêmes objets, de manières différentes. »

« Les scènes naturelles ont des contrastes supérieurs à 10 000:1, mais nos neurones ne peuvent traiter que des contrastes de 10:1. », explique Jolyon Troscianko, spécialiste en écologie environnementale.

Pour atteindre le cerveau, les informations subissent une compression importante, pouvant entraîner de légères imperfections visuelles et donner naissance à des illusions d’optique.

« Nous n’avons plus besoin d’attribuer tous ces phénomènes visuels à un traitement complexe de niveau psychologique (ce qui ne veut pas dire que ces processus de niveau supérieur ne peuvent pas du tout affecter notre vision) », conclut le chercheur.

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