Un ouvrier a fait la découverte surprise de 400 000 € derrière un mur ! Son coup de chance a été (malheureusement) de courte durée…

En novembre 2021, dans le charmant village portugais de Rio de Moinhos, un ouvrier s'attelait à une rénovation de routine dans une vieille bâtisse. Rien d’extraordinaire, pense-t-on.

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Pourtant, derrière un mur, il est tombé sur un véritable trésor. C’étaient 436 000 euros en liquide soigneusement planqués dans cinq coffres-forts. La surprise était énorme !

Cette fortune cachée comme dans les films était prête à transformer une vie ordinaire en conte de fées… ou presque.

L’espoir d’une nouvelle vie

Le coup de marteau qui a dévoilé cet argent a forcément fait battre le cœur plus vite. Ce gars qui est un simple ouvrier a tout de suite revendiqué la somme en affirmant que cet argent lui appartenait.

Selon lui, il l’avait mis de côté après des années de boulot acharné en Allemagne et en Suisse. Pourquoi planquer tant de cash ? Pour éviter les banques, les impôts et surtout une épouse un peu trop curieuse.

Cette explication tenait la route mais pas suffisamment pour convaincre les autorités locales. Rapidement, les questions se sont enchaînées.

Des doutes qui s’installent

L’histoire semblait presque trop belle pour être vraie. Un ouvrier avec des centaines de milliers d’euros cachés dans un mur a éveillé la méfiance.

La police a décidé de creuser un peu plus en cherchant à comprendre d’où venait vraiment cette fortune. En effet, accumuler une telle somme sans faire de vagues est plutôt rare.

Les soupçons d’argent sale ou d’activités louches ont commencé à faire leur apparition. Et la lumière sur cette affaire s’est peu à peu obscurcie.

Le verdict tombe : l’État récupère tout

En mars 2022, la Cour d’appel de Porto a tranché. Pour eux, le témoignage de l’ouvrier était trop flou et peu crédible.

Jugé « irrationnel », il a vu sa demande rejetée. Résultat : tout l’argent a été saisi par l’État. La justice estime que reconnaître cette somme sans preuves solides était comme fermer les yeux sur un probable délit.

Il n’est pas question de laisser passer ça.

Une bataille judiciaire qui s’éternise

Mais l’ouvrier ne s’est pas laissé faire. Convaincu que ses empreintes digitales retrouvées sur les billets et les sacs prouvaient sa propriété, il a décidé d’aller jusqu’au bout.

Il a porté l’affaire devant la Cour suprême de justice en entamant un long bras de fer juridique. Pour lui, ses empreintes étaient la preuve que l’argent lui appartenait réellement et non pas une simple coïncidence.

Le coup de grâce en 2025

Après trois années de procédures parfois lourdes et coûteuses, la sentence est tombée début 2025. La Cour suprême a confirmé la décision de Porto.

Les juges ont estimé que les empreintes seules ne suffisaient pas à démontrer ni la légitimité ni l’origine de l’argent. C’était un vrai coup dur pour l’ouvrier qui voyait la fin de sa quête.

Aucun autre recours n’était possible. Sa chance qui semblait d’abord immense s’était évaporée aussi vite qu’elle était apparue.

Une histoire qui fait réfléchir

Au final, cette histoire fait penser à ces vieux contes où la fortune frappe à la porte mais ne reste jamais longtemps. C’est aussi un bon rappel : « Tout ce qui brille n’est pas or. » L’argent trouvé est beau, mais la légalité est une autre histoire.

Alors, la prochaine fois que vous démolissez un mur, restez vigilant. La chance peut vous sourire mais elle peut aussi vous tourner le dos en un instant.


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