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- Changez votre façon de penser : interrompre n’est pas forcément malpoli
- Commencez par dire leur prénom : un moyen simple et efficace
- Reconnaissez ce qu’ils ont dit, puis orientez la conversation
- Une phrase simple pour intervenir facilement
- Et si la personne ne veut toujours pas lâcher la parole ?
- Oser prendre la parole : c’est la clé
Vous vous demandez comment faire pour glisser un mot sans passer pour quelqu’un de grossier ou de désagréable ?
Pas de panique, voici trois conseils faciles pour interrompre sans en faire trop.
En tant qu’expert en communication internationale, je travaille souvent avec des personnes très intelligentes qui ont du mal à couper la parole.
Pourtant, dans mon livre Smart, Not Loud : Comment se faire remarquer au travail pour toutes les bonnes raisons, j’explique que prendre la parole est essentiel, surtout quand vous avez un point important à partager. Alors voilà comment faire !
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Changez votre façon de penser : interrompre n’est pas forcément malpoli
La première a choisi de faire est de ne plus voir l’interruption comme un geste impoli. Au contraire, intervenir est participer activement à la conversation. Votre avis est aussi important que celui des autres.
Si vous vous dites que votre intervention peut aider le groupe, ça change tout. La prochaine fois que vous sentirez que vous perdez la parole, rappelez-vous que vous avez le droit d’être entendu.
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Commencez par dire leur prénom : un moyen simple et efficace
Quand vous sentez que c’est le bon moment pour intervenir, commencez par appeler la personne par son prénom. C’est prouvé : entendre son nom tenue instantanément l’attention. C’est comme un signal qui arrête ce que la personne est en train de dire.
Prononcer son prénom clairement mais calmement montre que vous êtes respectueux en même temps. C’est la meilleure façon d’intervenir sans paraître agressif.
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Reconnaissez ce qu’ils ont dit, puis orientez la conversation
Une fois que vous avez la parole, ne coupez pas brusquement. Montrez que vous avez écouté ce que la personne vient de dire, puis apportez votre idée pour faire avancer la discussion.
Par exemple, vous pouvez dire :
« Sophie, je comprends ton point sur l’inquiétude du client, ça me rappelle ce qu’on a fait sur un autre projet… »
« Max, bonne remarque sur le planning. Clara, qu’en penses-tu du côté marketing ? »
« Julie, je suis d’accord, ça me fait penser à un livre que j’ai lu récemment… »
Comme ça, la personne se sent écoutée et vous facilitez un échange plus équilibré.
Une phrase simple pour intervenir facilement
Si vous ne savez pas comment commencer, essayez cette phrase simple :
« [Prénom], puis-je intervenir rapidement ? J’aimerais ajouter quelque chose… »
Par exemple :
« Lucas, puis-je intervenir vite fait ? Je vois ça sous un autre angle. »
« Emma, j’aimerais partager mon point de vue, ça te va si je prends la parole un instant ? »
C’est direct, poli, et ça marche presque à tous les coups !
Et si la personne ne veut toujours pas lâcher la parole ?
Parfois, malgré toute votre gentillesse, la personne ne veut pas céder. Pas de panique, soyez un peu plus ferme sans être agressif. Expliquez que tout le monde doit pouvoir s’exprimer.
Par exemple :
« Sam, j’apprécie ton point de vue, mais laisses aussi les autres parler, d’accord ? »
« Taylor, c’est super que tu sois passionné(e), mais Eric aimerait aussi donner son avis. Ça te va ? »
Vous ne l’écrasez pas, vous l’incluez dans le groupe. Et ça fonctionne souvent très bien.
Oser prendre la parole : c’est la clé
La prochaine fois qu’une personne monopolise la parole, rappelez-vous ces trois conseils : changez d’état d’esprit, commencez par son prénom, puis orientez la discussion avec tact. Vous n’avez pas besoin d’être brutal.
Avec un peu d’audace et de respect, vous verrez que les autres vous apprécieront pour votre assurance bien placée.
Allez, à vous de jouer !
