Mark Zuckerberg possède Meta mais Sam Altman veut faire une révolution : cette IA va rendre le smartphone complètement obsolète

Pendant que Mark Zuckerberg fait jouer avec le métavers, Sam Altman – le monsieur ChatGPT – trace un autre chemin.

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Son nouveau pari est de créer un appareil tellement intelligent qu’il pourrait rendre vos bons vieux smartphones aussi has-been qu’un Nokia 3310 en 2025.

Un projet futuriste qui titille notre quotidien

Depuis le carton planétaire de ChatGPT, Altman ne cesse de rêver plus grand. Son nouveau joujou techno est un appareil du futur propulsé par l’intelligence artificielle. Cet objet veut carrément changer la manière dont on vit, travaille, et communique.

Son ambition ? Ni plus ni moins que « la plus grande révolution technologique depuis l’iPhone ». Rien que cette phrase fait lever un sourcil ou deux. Mais, le bonhomme a déjà prouvé qu’il pouvait faire bouger les lignes.

Ici, l’idée est de zapper les écrans et de mettre à fond sur la voix et la conversation. On parlerait à la machine et elle nous répondrait avec le bagout d’un assistant perso très futé.

Un tandem de génie : Sam Altman et le gourou du design Apple

Pour donner vie à cette chimère, Altman ne s’est pas entouré de n’importe qui. Il a fait appel à Jony Ive, le cerveau derrière le look épuré de l’iPhone, de l’iMac et de quelques autres bijoux de chez Apple. Une alliance explosive entre technologie de pointe et design léché.

L’idée est de créer un objet simple, beau, mais hyper puissant. Un appareil qui ne se contente pas de briller en vitrine mais qui transforme réellement le rapport des humains à la technologie.

En gros, un gadget qui ferait passer le smartphone pour un dinosaure.

OpenAI voit grand, très grand… et partout

Et ce n’est que le début ! OpenAI a déjà signé un accord colossal de 500 milliards de dollars avec SoftBank et Oracle pour monter une infrastructure IA XXL sur le sol américain. Son petit nom : Stargate.

Rien que ça, on se croirait dans un film de science-fiction. L’objectif est de construire des centres de données monstrueux, capables de soutenir cette ambition planétaire.

IA, géopolitique et coups de poker

Mais attention, le chemin est semé d’embûches. Pour vraiment maîtriser sa technologie, Altman veut créer ses propres puces comme le font déjà Apple ou Google.

En ligne de mire : l’indépendance vis-à-vis de Nvidia et un meilleur contrôle de la chaîne techno.

Et dans le fond, il n’y a pas que la technique. La Chine avance vite, très vite. Et certains régimes pourraient détourner l’IA vers des fins de surveillance. 

Heureusement, Altman voit loin. Il discute déjà avec le Japon pour booster la production de semi-conducteurs. Car pour que sa machine de rêve voie le jour, il va falloir tout un écosystème et une sacrée dose d’audace.


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