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- Ne pas déclarer correctement la pension alimentaire et les revenus des enfants
- Oublier les dons aux associations et mal déclarer les charges déductibles
- Mal déclarer la résidence alternée d’un enfant et oublier le statut de parent isolé
- Ne pas déclarer les dépenses liées à la perte d’autonomie et aux cotisations de retraite
- Oublier de signaler un changement d’adresse et la scolarité des enfants
Et si, au final, ces erreurs vous coûtaient cher ? Voici les 5 pièges à éviter pour maximiser vos avantages fiscaux et éviter de vous retrouver avec une facture plus salée que prévue !
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Ne pas déclarer correctement la pension alimentaire et les revenus des enfants
La pension alimentaire est un poste souvent mal maîtrisé. Si vous la percevez, n’oubliez pas de la déclarer dans les bonnes cases (1AO, 1BO, 1CO ou 1DO). Si c’est vous qui la versez, elle doit figurer parmi vos charges déductibles.
Et attention aussi aux revenus de vos enfants à charge qu’ils soient mineurs ou majeurs. Même s’ils sont encore à l’école, les revenus issus de stages, d’apprentissage ou d’autres boulots doivent être mentionnés s’ils dépassent les seuils d’exonération.
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Oublier les dons aux associations et mal déclarer les charges déductibles
Les dons aux associations offrent une réduction d’impôt non négligeable, mais encore faut-il bien les déclarer. Selon l’association à laquelle vous avez contribué, vous pouvez bénéficier d’une réduction de 66 % à 75 %. N’oubliez pas ainsi de cocher la bonne case (7UF, 7UD), sinon l’argent s’envole comme par magie !
Et attention aussi aux charges déductibles. Beaucoup se plantent en inscrivant des dépenses qui ne sont pas éligibles ou en les déclarées dans de mauvaises cases (case 6DD).
Par exemple, les cotisations de sécurité sociale ou les versements pour des régimes de retraite peuvent être déduits mais à condition de bien les déclarer.
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Mal déclarer la résidence alternée d’un enfant et oublier le statut de parent isolé
Pour les parents séparés ou divorcés, la résidence alternée d’un enfant peut donner droit à une demi-part fiscale. Mais attention, beaucoup oublient de répartir correctement la déclaration entre les deux parents. Résultat : une demi-part en moins !
Et si vous êtes parent isolé, il faut cocher la case « parent isolé » pour bénéficier d’une majoration du quotient familial.
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Ne pas déclarer les dépenses liées à la perte d’autonomie et aux cotisations de retraite
Les dépenses liées à la perte d’autonomie, que ce soit l’aide à domicile ou l’hébergement en EHPAD, ouvrent droit à un crédit d’impôt (cases 7DB, 7CD). Cependant, ces dépenses sont souvent négligées.
Si vous avez versé des cotisations d’épargne retraite, c’est aussi un gros plus fiscal. Mais là encore, une grosse erreur commune est d’oublier de les déclarer. Résultat : vous perdez un avantage fiscal qui pourrait alléger votre imposition.
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Oublier de signaler un changement d’adresse et la scolarité des enfants
Le déménagement est à signaler absolument à l’administration fiscale. Sinon, attendez-vous à une amende de 150 € ! En plus, ne zappez pas de déclarer si vos enfants poursuivent leurs études. Cette simple déclaration peut vous permettre de bénéficier de réductions d’impôt, selon le niveau d’étude de vos enfants.
Votre enfant est toujours à l’université ? N’oubliez pas de mettre à jour ces informations !